Masks of Nyarlathotep – Underground

Cairo, Egypt. March 1925 the 20th? 21th?

It was the first spot of light they saw from a while. More a blurry grayish speck, hanging in a far away roof. Narayan reached Hachim with his saber to stop him and laid the unconscious old man he was carrying against the wall of the chamber. His shoulder was aching, but still dry. No blood spilled. good. He squat next to the entrance, his blades ready to slit whatever would came from the tunnels. Hachim drop himself in the middle of the chamber, panting heavily.

Hachim was exhausted. He tried to count their steps, but failed to estimate the distance in theses tunnels. A miles? Two? Time was dilating to the point of madness in the dark. He felt some carving on the wall here and there, surely some hieroglyphs. The stones were old, disjointed here and there. Who knew there was such an network under his hometown? Since they fell through the hole at the mosque’s cave, they haven’t seen a single light. Theses tunnel were man-made, not like the ones earlier, dug by some unknown monster he tried his best to not think about.

Hachim whispered “Narayan, could you check if the oulema has woken up? I’m dying to ask him some questions.”

Narayan bend over to check upon the old men when a ray of light drop from the roof and hit Hachim with a splashing sound. Some kind of luminous moss has suddenly fell from the roof and covered him from head to toes. He straightened up and try to shake it up. The roof was glowing too and they could see each over clearly now.

– “Wha!? Nardin’! What was that!”  

– “Silence!”

Narayan went tense. The screams of Hachim had echoed loudly in the tunnels.

Pencil doodle on A6 sketchbook

***

Le Caire, Égypte. 20 ou 21 (?) Mars 1925

De la lumière. Pour la première fois depuis leur chute, la monotonie du noir fut rompue par une vague luminescence grisâtre semblant provenir d’un point du plafond plus haut. Narayan toqua Hachim du plat de sa lame pour l’arrêter puis s’employa a déposer confortablement le vieil home qu’il trimbalait contre le mur. Son épaule le faisait souffrir. Il passa rapidement la main dessus. Sec, donc pas de sang. Bien. Il s’accroupit juste a coté de l’entrée, le sabre prêt à réagir a ce qui pourrait arriver près des tunnels. Hachim se laissa bruyamment tomber au beau milieu de la pièce.

Hachim tentait de reprendre son souffle, au bord de l’épuisement. Il avait perdu le compte de ses pas au bout de plusieurs centaines. Quelle distance avaient-ils parcourus dans ces tunnels ? Un miles ? deux ? En absence totale de lumière, la perception du temps était horriblement déformée. Il avait bien senti du bout des doigts plusieurs hiéroglyphes ici et là mais sans parvenir à les traduire. ces pierres disjointes étaient vielles, si vielles… Qui aurait cru l’existence d’un réseau souterrain sous le Caire même ! Ces tunnels étaient clairement construit de main d’homme, pas comme ces trous visqueux par lesquelles ils étaient tombés depuis sous la mosquée. Hachim chassa des pensées de son esprit, il ne souhaitait vraiment pas penser à quels monstres  avaient pu creuser de tels tunnels.

Il se tourna dans la direction où il supposait que se trouvait Narayan et chuchota :

– “Est-ce qu’il est réveillé ? J’ai vraiment besoin de lui poser des questions.”

Narayan se pencha vers l’oulema quand un trait de lumière surgit du plafond et fondit sur Hachim, suivi d’un éclaboussement sonore. Hachim se releva d’un bond, il était maintenant couvert d’une curieuse mousse luminescente qu’il essaya vainement de secouer. Le plafond brillait aussi de la même lueur bleue-verte. Au mois, ils pouvaient enfin se distinguer l’un l’autre.

– “Que !? Nardin’ ! C’était quoi !”  
– “Chut !”

Narayan crispa sa main sur sa lame. Les cris d’Hachim résonnaient fort dans ces tunnels. Trop fort…

Criterium sur carnet A6